février 2019

Mâchoire (Mandíbula) – Littérature équatorienne (extrait) – Traduction de Benjamin Aguilar

I À peine eut-elle ouvert les yeux que les ombres du jour se brisant s’affaissaient sur elle. C’étaient de volumineuses taches — « l’opacité est l’esprit des objets » disait son psychanalyste — qui lui permettaient de deviner quelques meubles mal en point et, plus loin, un corps fantasmagorique récurant le sol avec une serpillière pour hobbits.

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